09 71 26 41 85 contact@stafe.fr

Allée du 9 novembre 1989, ZA de la Garde
49240 Avrillé

Lorsque nous rédigeons un article optimisé pour le SEO, nous avons tendance à penser d’abord aux mots-clés et aux balises titre. On en oublie parfois certains détails qui peuvent faire la différence avec les contenus de vos concurrents : la FAQ. Vous l’avez certainement remarqué en tant que lecteur. Lorsqu’un article répond clairement à vos questions annexes, même celles que vous n’aviez pas encore formulées, vous restez plus longtemps, vous naviguez davantage, et vous avez naturellement plus confiance dans la source. C’est ce que permet une bonne FAQ dans un article SEO.

Dans les stratégies de contenu SEO de notre agence, nous considérons la FAQ comme une partie importante. Elle répond à ce que Google attend aujourd’hui : de la clarté, de la précision, et une capacité à couvrir l’ensemble des intentions de recherche autour d’un sujet.

Les points à retenir sur les FAQ dans les articles SEO

Pour résumer l’essentiel à propos des FAQ dans les articles SEO, voici les principales idées à garder en tête :

Qu’est-ce qu’une FAQ dans un article SEO ?

Quand nous parlons de FAQ dans un article SEO, nous évoquons une section composée de questions courantes, suivies de réponses utiles.

L’objectif principal d’une FAQ n’est pas d’alourdir le texte, mais d’ajouter une couche d’informations qui répond explicitement aux interrogations que les lecteurs pourraient avoir en arrivant sur votre contenu. En d’autres termes, la FAQ est une zone qui sert à anticiper, clarifier et éliminer les zones d’ombre.

Exemple de structure typique d’une FAQ dans un article SEO

On retrouve très souvent ce genre de structure simple et intuitive :

Exemple d'une FAQ dans un article SEO

Pourquoi une FAQ est importante dans un article SEO ?

Optimisation pour le GEO et GSO (citation par les IA)

Les IA génératives sont de plus en plus utilisées pour effectuer des recherches. On assiste donc à une grande augmentation des requêtes dites conversationnelles. Et la FAQ répond parfaitement à cette nouvelle méthode de recherche qui prend de plus en plus de place. En effet, l’algorithme des moteurs de recherche ainsi que des intelligences artificielles cherchent une réponse concise, structurée, et directement exploitable. Cela augmente donc vos chances d’être cité par ChatGPT, Gemini, DeepSeek ou Perplexity.

Meilleur positionnement dans les « People Also Ask » de Google

Les blocs « People Also Ask » occupent une place très importante dans les pages de résultats de recherche. Ils sont une marque de confiance pour les visiteurs. En effet, c’est Google qui met directement en avant le site, c’est un très bon élément de réassurance. Et une FAQ augmente naturellement vos chances d’y figurer, car elle reprend les problématiques exactes que Google met en avant dans ces encarts.

Favorise le référencement sémantique et la couverture des intentions de recherche

En SEO moderne, la logique ne tourne plus seulement autour du mot-clé principal, mais autour de l’intention, du contexte, et des variations sémantiques. Une FAQ enrichit votre page en couvrant la thématique abordée dans l’article sous des angles complémentaires. C’est l’endroit parfait pour élargir votre sujet avec des questions qui gravitent autour de celui-ci. Vous montrez ainsi à Google que vous maîtrisez votre sujet dans toute sa profondeur.

Par exemple, si votre article traite des « Core Web Vitals », une FAQ pourrait inclure des questions connexes comme :

Amélioration du temps passé sur la page et du taux de clics

Lorsqu’un lecteur scrolle jusqu’à votre FAQ, lit la réponse à une question, puis en lit une autre, vous créez une dynamique d’engagement très positive. Google l’interprète logiquement comme un signal qualitatif. Le temps passé augmente, le taux de rebond diminue, et le lecteur a plus de raisons de cliquer vers une autre ressource interne. C’est un cercle vertueux qui profite à la fois à l’algorithme et à l’expérience humaine.

Comment bien intégrer une FAQ dans vos articles ?

Identifier les questions de vos lecteurs sur le sujet de votre article

Avant d’écrire les questions, il faut d’abord savoir ce que vos lecteurs cherchent réellement quand ils effectuent une recherche sur le sujet de votre article. Pour cela, vous pouvez vous servir de plusieurs sources très utiles :

En combinant ces sources, vous obtenez de quoi rédiger une FAQ pertinente pour vos utilisateurs à inclure dans votre article SEO.

Utiliser le balisage Schema.org FAQPage pour les moteurs de recherche

Une FAQ a vraiment de l’importance lorsqu’elle est comprise par Google. Pour cela, nous recommandons systématiquement l’utilisation du balisage Schema.org en format FAQPage. Ce balisage aide les moteurs à identifier les questions et les réponses, ce qui augmente vos chances d’apparaître dans les résultats enrichis (position zéro ou People Also Ask par exemple).

Nous vous recommandons également d’inclure le sommaire de votre FAQ sur le côté de la page de votre article, un peu comme sur la page sur laquelle vous êtes.

Sommaire de la FAQ sur le côté de la page article SEO

Comment intégrer un balisage Schema.org FAQPage à son article ?

1. Ajouter un balisage JSON-LD dans le code de la page

Vous pouvez insérer un script JSON-LD dans le <head> ou en bas de votre page. Voici un exemple que vous pouvez reprendre :

<script type="application/ld+json">
{
  "@context": "<https://schema.org>",
  "@type": "FAQPage",
  "mainEntity": [
    {
      "@type": "Question",
      "name": "Pourquoi une FAQ est utile pour le SEO ?",
      "acceptedAnswer": {
        "@type": "Answer",
        "text": "Une FAQ aide à couvrir davantage d'intentions de recherche et améliore la visibilité sur les résultats enrichis."
      }
    },
    {
      "@type": "Question",
      "name": "Comment choisir les questions d'une FAQ ?",
      "acceptedAnswer": {
        "@type": "Answer",
        "text": "En utilisant des outils comme Answer The Public ou en analysant les données Search Console."
      }
    }
  ]
}
</script>

2. Utiliser un plugin sur votre CMS (WordPress, Shopify, Webflow…)

Si vous utilisez un CMS, alors vous pouvez :

L’avantage principal est qu’aucune manipulation technique avancée n’est nécessaire.

Notre agence SEO répond à vos questions sur les FAQ dans les articles SEO

Une FAQ doit-elle toujours être placée en bas d’un article ?

chevron-circle-down

Elle est souvent positionnée en fin d’article, mais il n’est pas forcément nécessaire de la mettre ici à chaque article ou page. Vous pouvez très bien la placer au milieu du contenu, par exemple après une section dense. L’important est qu’elle n’interrompe pas la lecture et qu’elle reste facilement accessible.

Combien de questions faut-il inclure dans une FAQ SEO ?

chevron-circle-down

Nous recommandons généralement 5 à 10 questions pertinentes par FAQ. Il ne faut pas remplir pour remplir, mais apporter ce qu’il faut pour compléter le sujet sans alourdir la page.

Est-ce utile d’ajouter une FAQ sur un article court ?

chevron-circle-down

Nous pensons que oui. Si le sujet génère beaucoup de questions latentes, une FAQ peut renforcer la perception d’exhaustivité, même sur un texte concis. Mais si l’article est trop court pour offrir une réelle valeur, ajouter une FAQ ne corrigera pas le problème.

Faut-il mettre des liens internes dans une FAQ ?

chevron-circle-down

C’est une bonne pratique si cela reste naturel. Au sein d’un cocon d’articles (donc plusieurs articles qui traitent de sous-sujets d’une même thématique), vous pouvez faire des liens vers d’autres articles dont vous survolez le sujet dans une question de votre FAQ tant que cela apporte une continuité logique au lecteur.

Une FAQ doit-elle forcément être neutre et informative ?

chevron-circle-down

Oui, en grande partie. Les réponses doivent rester factuelles, chiffrées si possible, directes et non promotionnelles si vous souhaitez qu’elles apparaissent dans les résultats enrichis.

Est-ce utile d’avoir une FAQ sur toutes les pages d’un site ?

chevron-circle-down

Non. La FAQ est pertinente sur les pages informationnelles, les articles de blog, les guides, et certaines pages services. Sur des pages très courtes ou très transactionnelles, elle peut être superflue.

Une FAQ peut-elle aider un article à cibler des requêtes longue traîne ?

chevron-circle-down

Oui, c’est l’un des objectifs premiers d’une FAQ dans un article SEO. Cela permet d’élargir le champ sémantique et de capter des recherches que le contenu principal ne couvre pas toujours.

Peut-on mettre une FAQ réutilisable sur plusieurs articles ?

chevron-circle-down

Mieux vaut éviter, une FAQ doit être spécifique au contenu de la page.

Une FAQ peut-elle être trop longue ?

chevron-circle-down

Nous pensons que oui, au-delà de 10 à 12 questions, vous risquez de surcharger la page avec trop de contenu et de décourager les lecteurs.

Cela fait depuis quelques années que le terme de Core Web Vitals est devenu un sujet de discussion dans le monde du référencement naturel. Google en parle, les experts SEO en parlent, et peut-être que vous aussi, vous vous demandez ce qu’ils ont de si spécial. Les Core Web Vitals traduisent la volonté de Google de privilégier les sites qui offrent une expérience utilisateur fluide, rapide et agréable. Quand une page met trop de temps à charger, qu’un bouton ne réagit pas ou que la mise en page saute sans prévenir, cela devient vite agaçant pour les utilisateurs. C’est donc le genre de désagréments que les Core Web Vitals cherchent à mesurer et à corriger.

Ce sont des indicateurs mesurables et surtout exploitables pour améliorer la performance globale d’un site. Si vous souhaitez un accompagnement sur ce sujet, nous vous recommandons de contacter l’un des consultants de notre agence SEO qui vous expliquera comment nous aidons nos clients à renforcer leur visibilité grâce à ces optimisations.

Résumé : les points importants à retenir sur les Core Web Vitals

Les Core Web Vitals : qu’est-ce que c’est au juste ?

Les Core Web Vitals sont un ensemble d’indicateurs créés par Google pour mesurer la qualité de l’expérience utilisateur sur un site. Ils évaluent la performance perçue par vos visiteurs comme la rapidité d’affichage, la réactivité des éléments interactifs, et la stabilité visuelle de la page.

Pendant des années, le pilier principal sur lequel on concentrait nos efforts en SEO était le contenu. Mais aujourd’hui, Google cherche également à savoir si votre site est agréable à utiliser. Et ces données, il va les récupérer en analysant le comportement de véritables utilisateurs. Elles permettent d’avoir une vision réaliste de la navigation sur votre site. Les Core Web Vitals sont donc un bilan de santé de votre site. Ils vous disent si votre page s’affiche assez vite, si elle réagit bien quand on clique, et si elle reste stable pendant le chargement.

D’où viennent les Core Web Vitals ?

Les Core Web Vitals sont apparus en 2020 dans la continuité des efforts de Google pour améliorer l’expérience utilisateur. Ils appartiennent à un ensemble de signaux appelés Page Experience, qui incluent également la compatibilité mobile, la sécurité HTTPS ou encore l’absence d’interstitiels intrusifs.

Google a introduit ces métriques pour offrir un cadre commun à tous les développeurs, webmasters et référenceurs. L’idée était de fournir des repères universels pour comprendre comment un site se comporte aux yeux d’un utilisateur et pas seulement à travers les robots d’indexation.

Les Core Web Vitals montrent bien l’évolution du SEO. Le référencement naturel est de plus en plus centré sur la qualité de l’expérience utilisateur.

Quels sont les 3 indicateurs des Cores Web Vitals ?

Les Core Web Vitals se composent de trois indicateurs principaux, qui évaluent chacun un aspect différent de l’expérience utilisateur. Ces signaux ont un peu évolué avec le temps, notamment depuis 2024 où Google a remplacé l’ancien FID (First Input Delay) par le nouvel indicateur INP (Interaction to Next Paint), plus représentatif du ressenti réel des utilisateurs.

LCP (Largest Contentful Paint)

Le LCP mesure le temps nécessaire pour afficher le principal élément visible de votre page. Il s’agit la plupart du temps d’une image, d’une bannière ou d’un bloc de texte. C’est le moment où l’utilisateur voit enfin le contenu principal et peut commencer à le lire ou l’explorer.

Un bon LCP est un signe que votre site se charge rapidement, et donc que vous respectez le temps d’attention de vos visiteurs. Google recommande que le LCP soit inférieur à 2,5 secondes. Au-delà, l’utilisateur commence à ressentir une lenteur, ce qui peut impacter la perception de fiabilité du site et augmenter le taux de rebond.

Les bonnes pratiques à adopter pour améliorer le Largest Contentful Paint

INP (Interaction to Next Paint)

L’INP a pris la place du FID pour mieux mesurer la réactivité globale d’un site. Le FID se contentait de calculer le délai du premier clic, alors que l’INP évalue la latence moyenne de toutes les interactions (clics, formulaires, boutons, menus, etc.).

Un site qui semble rapide au premier clic peut devenir lent dès que l’on interagit davantage. L’INP permet donc une mesure plus complète, plus réaliste. Google considère qu’un bon score d’INP est inférieur à 200 millisecondes.

Conseils pour réduire l’INP

CLS (Cumulative Layout Shift)

Le CLS mesure la stabilité visuelle d’une page. Il indique à quel point les éléments bougent ou sautent pendant le chargement. Vous savez, il s’agit de ces moments où un bouton descend d’un coup ou où une image pousse le texte plus bas. Voilà ce que le CLS évalue.

Un mauvais CLS (supérieur à 0,1) peut créer de la frustration, voire des erreurs de clic. Au contraire, un bon CLS garantit une lecture agréable et prévisible. C’est un critère de crédibilité, car un site stable inspire confiance.

Astuces pour corriger le CLS

Comment mesurer les Core Web Vitals de votre site ?

Si vous souhaitez évaluer les Core Web Vitals de votre site, nul besoin d’être développeur ! Google met à disposition plusieurs outils gratuits et accessibles à tous afin de mesurer et analyser ces indicateurs en quelques secondes.

Le plus connu est bien évidemment PageSpeed Insights, qui fournit un score de performance pour mobile et pour ordinateur séparément. Il affiche directement vos valeurs LCP, INP et CLS, tout en proposant des recommandations automatiques pour les améliorer.

évaluation Core Web Vitals sur PageSpeed Insights

Vous pouvez obtenir exactement le même rapport sans passer par le site de PageSpeed Insights grâce à l’extension Lighthouse.

évaluation Core Web Vitals depuis extension Lighthouse

Un autre outil utile pour mesurer vos Core Web Vitals est la Google Search Console. Dans l’onglet “Expérience”, vous pouvez accéder à une évaluation de vos Core Web Vitals. Le contenu y sera cependant moins détaillé que sur le site PageSpeed Insights.

Accéder à l'évaluation des Core Web Vitals depuis la Google Search Console
évaluation Core Web Vitals sur depuis la Google Search Console

Dernier outil que nous vous proposons : WebPageTest. De la même manière, il suffit d’indiquer l’URL de votre site pour obtenir une mesure de vos Core Web Vitals.

évaluation Core Web Vitals sur WebPageTest

Lecture des résultats : que signifient les couleurs ?

Lorsque votre rapport est généré, il y 3 couleurs que Google attribue aux résultats :

Quel impact ont les Core Web Vitals sur le référencement naturel ?

Les Core Web Vitals influencent directement la visibilité de votre site sur Google. En effet, depuis leur intégration dans les signaux de classement, ils font partie des critères que le moteur de recherche prend en compte pour évaluer la qualité d’une page.

Impact sur le SEO : positionnement dans les SERP

Dans une SERP, le site qui offre une expérience plus fluide, plus stable et plus rapide sera naturellement avantagé dans les résultats de recherche. Ils viennent renforcer le signal de qualité globale perçu par les robots de crawl de Google. Quand on analyse plus que le contenu ou les backlinks, les Core Web Vitals peuvent être l’un des détails qui fait la différence entre la première et la deuxième position.

Impact sur l’expérience utilisateur : taux de rebond et temps passé sur la page

Les Core Web Vitals ont un effet direct sur les indicateurs comportementaux de vos visiteurs. Une page lente ou instable fait naturellement fuir. Et au contraire, une page rapide, fluide et stable retient plus longtemps. Ainsi, le taux de rebond diminue, le temps passé sur la page augmente, et les utilisateurs ont davantage tendance à explorer d’autres contenus de votre site. Quand on sait que le comportement des utilisateurs sur un site est aujourd’hui très important pour Google quand il fait son classement des résultats de recherche.

Liens entre vitesse, UX et conversion

On ne s’avance pas trop en vous disant qu’un site plus rapide, c’est aussi un site qui convertit mieux. L’utilisateur n’aime pas attendre, surtout lorsqu’il s’agit d’un achat en ligne ou d’un formulaire à remplir. Le temps de chargement d’une page a donc très clairement un impact sur le chiffre d’affaires.

En résumé, les Core Web Vitals relient ces trois piliers :

Comment améliorer vos Core Web Vitals ?

Il est tout à fait possible d’améliorer ses Core Web Vitals sans refondre entièrement votre site. En travaillant à la fois sur la technique et sur l’expérience mobile, vous pouvez rapidement gagner en performance et en confort de navigation. Certaines correction peuvent tout de même demander des compétences spécifiques. Il peut donc être parfois nécessaire de demander l’intervention d’une agence telle que Stafe pour que les corrections soient efficaces.

Stratégies techniques

Les optimisations techniques consistent à de rendre votre site plus léger, plus rapide et plus stable. Voici quelques actions sue vous pouvez mettre en place :

Ces optimisations peuvent sembler techniques, mais elles ont un effet immédiat sur vos scores Core Web Vitals. C’est souvent le cœur de notre travail d’audit SEO : identifier les ralentissements invisibles et proposer des solutions.

Critère du mobile first

Google évalue désormais les sites en priorité à travers leur version mobile. Qu’est-ce que ça veut dire ? Que vous devez penser avant tout à la comptabilité et lisibilité de votre site depuis les smartphones. C’est la logique du mobile first.

Le mobile implique certaines contraintes : réseau plus lent, processeur moins puissant, écran plus petit. Pour offrir une expérience fluide dans ces conditions, il faut :

FAQ de notre agence SEO sur les Core Web Vitals

Les Core Web Vitals concernent-ils tous les types de sites ?

chevron-circle-down

Oui ! Que vous gériez un site vitrine, un blog ou une boutique e-commerce, les Core Web Vitals s’appliquent à tous. Google analyse la qualité de l’expérience utilisateur sur chaque page indexée, quelle que soit sa finalité.

Quelle est la différence entre Core Web Vitals et vitesse de chargement classique ?

chevron-circle-down

La vitesse de chargement se limite souvent au temps que met une page à s’afficher entièrement. Les Core Web Vitals mesurent la perception de la performance. Par exemple, un site peut sembler rapide à charger, mais être lent à réagir quand on clique sur un bouton, ce que seul l’INP (Interaction to Next Paint) peut révéler.

Les Core Web Vitals ont-ils le même poids que le contenu dans le référencement ?

chevron-circle-down

Non, ils ne sont pas plus importants que le contenu pour Google. Mais quand deux sites proposent une qualité rédactionnelle équivalente, celui qui offre la meilleure expérience utilisateur sera favorisé. Les Core Web Vitals servent donc à faire la différence dans des situations de concurrence SEO.

Faut-il des compétences techniques pour améliorer ses Core Web Vitals ?

chevron-circle-down

Pas nécessairement, car certaines optimisations (comme la compression d’images ou la réduction du JavaScript) peuvent être faites avec des plugins ou outils automatisés. Pour des corrections plus avancées, il est souvent préférable de faire appel à une agence SEO capable d’intervenir directement sur le code ou l’infrastructure du site.

Combien de temps faut-il pour voir une amélioration des scores ?

chevron-circle-down

En général, entre il faut quelques jours voire quelques semaines après les optimisations, le temps que Google recrawl les pages et mette à jour ses données.

Le choix de l’hébergeur influence-t-il les Core Web Vitals ?

chevron-circle-down

Oui, et pas qu’un peu. Un hébergement lent ou surchargé va allonger le LCP et l’INP.

Est-ce que les plugins WordPress ou Shopify peuvent nuire aux performances ?

chevron-circle-down

Oui, car certains plugins ajoutent du JavaScript inutile ou chargent des fichiers sur chaque page, même quand ils ne sont pas utilisés. Il faut régulièrement faire le tri et supprimer ceux qui ne sont pas essentiels. Moins il y a de scripts, meilleurs seront vos Core Web Vitals.

Quand on parle de référencement naturel, il est difficile d’échapper aux indicateurs d’autorité. Entre le Domain Rating d’Ahrefs, le Domain Authority de Moz ou encore le Trust Flow de Majestic, ces métriques font désormais partie du langage courant des consultants SEO. Elles ne sont pas reconnues officiellement par Google, certes, mais elles permettent d’évaluer la qualité d’un profil de liens. Au sein de l’agence en référencement SEO Stafe, nous aidons les entreprises à comprendre, analyser et améliorer leurs indicateurs de performance pour renforcer leur visibilité sur les moteurs de recherche.

Résumé des points à retenir sur le Trust Flow

Voici les principales idées à retenir pour bien comprendre et utiliser le Trust Flow dans votre stratégie SEO :

  • Le Trust Flow mesure la confiance d’un site selon la qualité des liens entrants, et non leur quantité
  • Il est développé par Majestic SEO, et repose sur une base de sites jugés fiables servant de référence
  • Un rapport équilibré entre Trust Flow et Citation Flow (proche de 1) est signe d’un profil de liens sain
  • Un Trust Flow élevé améliore la crédibilité de votre site, sa visibilité et la qualité du trafic qu’il attire
  • Il est étroitement lié à la stratégie de netlinking, qui doit privilégier la pertinence thématique et la qualité des domaines référents
  • Pour l’améliorer :
    • Identifiez et désavouez les backlinks toxiques
    • Obtenez des liens depuis des sites à forte autorité et via du guest blogging
    • Créez du contenu à forte valeur ajoutée pour générer des liens naturels
  • Le Trust Flow est un indicateur de santé SEO, à interpréter avec nuance et dans un contexte de stratégie globale (contenu, technique, expérience utilisateur)

Qu’est-ce que le Trust Flow ?

Le Trust Flow est un KPI développé par l’outil Majestic SEO. Il est aujourd’hui largement utilisé par les consultants et les agences SEO pour évaluer la fiabilité d’un site. Il se distingue par le fait qu’il met l’accent sur la qualité des liens entrants, contrairement à d’autres indicateurs purement quantitatifs.

Le Trust Flow, souvent raccourci en TF, mesure la confiance transmise à un site via ses backlinks. Plus un site reçoit de liens provenant directement ou indirectement de sources fiables, plus son TF sera haut. L’échelle va de 0 à 100, mais dans les faits, peu de sites atteignent des scores très élevés. Les sites institutionnels, les médias reconnus ou les grandes marques disposent souvent d’un Trust Flow supérieur à 50, tandis que la majorité des sites professionnels se situent entre 10 et 40.

Il faut retenir que le Trust Flow mesure la confiance, pas la popularité. C’est ce qui le rend si pertinent dans une approche qualitative du SEO.

Indicateur de Trust Flow sur Majestic SEO

Différence entre Trust Flow et Citation Flow

Majestic propose deux indicateurs complémentaires : le Trust Flow (TF) et le Citation Flow (CF). Le premier évalue la qualité, le second la quantité.

  • Le Trust Flow s’intéresse à la provenance et la fiabilité des liens
  • Le Citation Flow se base sur le nombre total de liens pointant vers un site, sans distinction de qualité

Un bon profil de liens doit maintenir un équilibre entre ces deux valeurs. En général, on considère qu’un rapport TF/CF proche de 1 traduit un netlinking sain. Si le CF est beaucoup plus élevé que le TF, c’est souvent le signe d’un profil pollué par des liens de faible qualité, voire spam.

À quoi sert le Trust Flow dans une stratégie SEO ?

Le TF aide à comprendre la structure de confiance autour de votre domaine, à identifier les forces et faiblesses de votre netlinking, et à orienter vos actions futures.

Par exemple :

  • Si votre site a un faible Trust Flow, cela signifie que vos backlinks manquent de fiabilité
  • Si votre Trust Flow est élevé, vous pouvez capitaliser dessus pour renforcer votre positionnement sur des mots-clés plus compétitifs

En tant qu’agence, nous utilisons cet indicateur pour auditer les profils de liens de nos clients, repérer les sources nuisibles, et élaborer des campagnes de netlinking plus ciblées. Le Trust Flow, c’est en quelque sorte le baromètre de la confiance numérique. Et dans l’univers du SEO, la confiance reste la clé pour gagner des positions durables.

Comment le Trust Flow est-il calculé ?

En SEO, la confiance se transmet de lien en lien. Majestic a construit une base de données de plusieurs millions de sites considérés comme fiables (des médias reconnus, des institutions, des sites gouvernementaux ou universitaires). À partir de cette base, l’algorithme évalue la proximité entre un site donné et ces sources de confiance. Plus un domaine reçoit de liens depuis des sites fiables, plus son score de Trust Flow sera élevé.

Voici les grands principes qui entrent en jeu dans le calcul du Trust Flow :

  • Transmission de confiance : chaque lien agit comme un canal qui fait circuler une forme de crédibilité. Un site A qui reçoit un lien d’un site B à haut Trust Flow en bénéficiera à son tour, mais de manière légèrement atténuée.
  • Propagation dégressive : plus la chaîne de liens entre votre site et la source de confiance est longue, plus la confiance transmise diminue.
  • Analyse du contexte : Majestic ne fait pas que compter les liens. L’outil prend en compte le thème des sites liés entre eux. Par exemple, un site d’actualité scientifique aura un meilleur impact sur un autre site scientifique que sur un blog de mode.
  • Structure interne des liens : même les liens internes d’un site influencent légèrement son Trust Flow, car ils participent à la distribution de cette confiance à l’intérieur du domaine.

Retenez que le Trust Flow repose sur une approche sémantique et qualitative. Ce n’est pas un algorithme qui récompense le volume, mais plutôt la cohérence du réseau de liens dans lequel votre site évolue.

Pourquoi le Trust Flow est-il important pour votre SEO ?

Ce KPI ne fait pas réellement partie des critères pris en compte par Google pour établir son classement. Mais officieusement, les consultants et agences SEO s’en servent comme un indicateur de crédibilité, pour estimer la fiabilité de votre site aux yeux des moteurs de recherche. Ce score nous permet de distinguer les sites qui inspirent confiance de ceux qui ne le font pas.

Impact sur le positionnement dans les résultats Google

Même si Google ne prend pas directement en compte le Trust Flow (puisqu’il s’agit d’une métrique externe à son algorithme), ce score reste étroitement corrélé aux performances SEO.

Tout comme le Domain Rating d’Ahrefs, le Trust Flow est intimement lié à la stratégie de netlinking. Plus vos backlinks proviennent de sources fiables et reconnues, plus votre site est perçu comme crédible par les moteurs de recherche. C’est l’un des critères principaux pour vous faire apparaître plus haut dans les résultats. Vous gagnez ainsi en visibilité, et cette exposition régulière renforce naturellement la confiance des utilisateurs envers votre marque.

À l’inverse, un TF faible signifie généralement un profil de liens douteux ou artificiel, que Google peut interpréter comme un manque de fiabilité. Cela peut impacter négativement votre positionnement, voire votre réputation numérique. D’où l’importance de privilégier la qualité des liens plutôt que leur quantité.

Relation entre Trust Flow et acquisition de trafic qualifié

Un bon Trust Flow ne fait pas qu’améliorer votre visibilité. En effet, il attire aussi un trafic plus qualifié. Si votre stratégie de backlink est réussie ou que votre contenu est suffisamment pertinent pour être cité, les sites qui vous mentionnent sont dans le même univers que le vôtre. Ils sont donc crédibles et fréquentés par des visiteurs pertinents. Les clics issus de ces backlinks ont davantage de valeur, car ils proviennent d’un public réellement intéressé par votre activité. De ce fait, le TF ne sert pas uniquement à plaire à Google, mais aussi à améliorer votre taux de conversion.

Comment améliorer votre Trust Flow ?

Améliorer ce KPI va demander de l’analyse, du nettoyage, de la création de contenu et de sélectionner des partenaires éditoriaux. Il ne vous faudra pas obtenir plus de liens en grande quantité, mais plutôt obtenir de bons liens, depuis de bons sites.

Identifier les backlinks toxiques et les désavouer

Avant de chercher à obtenir de nouveaux liens, il faut nettoyer votre profil existant. Au fil du temps, de nombreux sites accumulent volontairement ou non des backlinks de mauvaise qualité : annuaires automatiques, fermes de liens, blogs spammy ou forums étrangers sans rapport avec votre thématique. Ces liens tirent votre Trust Flow vers le bas.

La première étape consiste à :

  • Auditer votre profil de liens avec un outil comme Majestic, Ahrefs, Semrush ou Screaming Frog
  • Repérer les domaines suspects (Trust Flow très bas, thématique sans rapport, ancre sur-optimisée)
  • Désavouer ces liens directement depuis la Search Console de Google via un fichier .txt

Nous vous invitons à consulter notre tutoriel complet qui indique en détail comment repérer et désavouer les backlinks toxiques.

Créer du contenu à forte valeur ajoutée pour attirer des liens naturels

Le contenu reste le meilleur aimant à backlinks. Pour qu’un site fasse un lien vers vous, il faut lui donner une bonne raison de le faire. C’est pourquoi vous devez prendre l’habitude de publier du contenu utile qui apporte une vraie valeur ajoutée au lecteur. Cela peut se faire au travers d’un article, d’une étude, d’un comparatif, d’une infographie ou tout autre chose qui peut vous faire passer pour un expert dans votre domaine.

D’autres sites pourront ainsi eux-mêmes reprendre vos informations en vous citant via un lien vers votre site. Cela crée naturellement un backlink pertinent pour votre Trust Flow (et cela sans échange de lien).

Obtenir des backlinks depuis des sites pertinents avec une stratégie de guest blogging

En créant du contenu à valeur ajoutée, vous attirez les liens vers vous tout seul. En faisant du guest blogging, vous allez vous-même directement demander des liens vers votre site. C’est une manière de faire très répandue en SEO pour améliorer son Trust Flow. En règle générale, on cherche à obtenir des liens depuis des :

  • Médias reconnus en lien avec votre secteur
  • Sites institutionnels ou associatifs (souvent très bien notés)
  • Partenaires ou fournisseurs déjà installés en ligne

Lorsque vous êtes amené à poser des liens vers votre site, nous vous conseillons de respecter quelques règles :

  • Visez la pertinence thématique avant tout
  • Rédigez des articles de qualité au moins égale à ceux publiés sur votre propre site
  • Diversifiez vos ancres de liens pour garder un profil naturel

Vous pouvez passer par des plateformes reconnues comme Ereferer pour acheter des liens depuis les sites que vous souhaitez. Mais ne tombez pas dans le piège des backlinks achetés dans des fermes à liens ! Cela marchera peut-être sur une courte période, mais les moteurs de recherche remarqueront très vite cette méthode d’obtention de liens et pourraient par la suite pénaliser votre site.

Une stratégie de ce genre prendra du temps et peut demander un investissement financier, mais elle améliorera votre Trust Flow et donc vos positions SEO sur le long terme.

FAQ : les réponses de notre agence SEO

Quelle est la différence entre le Trust Flow, le Domain Rating et le Domain Authority ?

chevron-circle-down

Ces trois indicateurs mesurent l’autorité d’un site, mais avec des approches différentes :

    • Trust Flow (Majestic) : évalue la qualité et la fiabilité des liens entrants

    • Domain Rating (Ahrefs) : mesure la puissance globale du profil de liens

    • Domain Authority (Moz) : estime la capacité d’un site à bien se positionner sur Google

En résumé : le Trust Flow mesure la confiance, le Domain Rating la popularité, et le Domain Authority la performance potentielle.

Combien de temps faut-il pour voir une amélioration du Trust Flow ?

chevron-circle-down

Le TF évolue lentement. En général, il faut plusieurs semaines à plusieurs mois pour constater une hausse significative.

Est-il possible d’avoir un bon référencement sans avoir un Trust Flow élevé ?

chevron-circle-down

Oui, c’est tout à fait possible. Un site peut très bien se positionner sur Google avec un Trust Flow moyen, à condition d’avoir une structure technique solide, un contenu optimisé et une bonne expérience utilisateur. Le TF devient surtout pertinent pour les sites concurrencés, où le netlinking joue un rôle clé pour dépasser d’autres domaines déjà bien établis.

Quel est un bon score de Trust Flow pour un site ?

chevron-circle-down

Nous n’avons pas de chiffre universel. Cela dépend de plusieurs critères comme le secteur d’activité par exemple. Mais on arrive à cette estimation :

    • Un site vitrine avec un Trust Flow entre 10 et 25 est déjà solide

    • Un média ou un e-commerce national vise plutôt 25 à 40

    • Les grandes marques et institutions dépassent parfois 50

Le Trust Flow varie-t-il selon les pages d’un même site ?

chevron-circle-down

Le Trust Flow peut être analysé au niveau d’une page spécifique, pas seulement du domaine. Une page recevant plusieurs liens de qualité (par exemple, un article d’expertise cité par d’autres) aura un TF supérieur à celui du reste du site.

Est-ce utile de surveiller le Trust Flow de ses concurrents ?

chevron-circle-down

Absolument ! Suivre le TF de vos concurrents permet de :

    • repérer les sources de liens qu’ils utilisent,

    • évaluer la solidité de leur netlinking,

    • et identifier des opportunités de partenariat ou de backlinks

Les liens depuis les réseaux sociaux influencent-ils le Trust Flow ?

chevron-circle-down

Non, pas directement. Les liens depuis les réseaux sociaux sont souvent en “nofollow”, ce qui donc signifie qu’ils ne transmettent pas de confiance au sens où l’entend Majestic.

Les backlinks apportent de la popularité à un site. On vous rappelle qu’il s’agit de l’un des 3 piliers du SEO. Ils occupent donc un rôle très important dans le référencement naturel. Lorsqu’ils proviennent de sites fiables et pertinents, ils renforcent la crédibilité de votre site aux yeux de Google. Mais certains liens peuvent avoir l’effet opposé. Ce sont ce qu’on appelle des backlinks toxiques.

Ils peuvent nuire à votre visibilité, faire baisser vos positions dans les résultats de recherche, voire entraîner des sanctions. Si votre site souffre d’une perte subite de position, il se peut que des liens toxiques en soient la cause. Pour être sûr de cela, vous pouvez contacter une agence spécialisée en stratégie SEO qui saura vous aider.

Ce qu’il y a à retenir sur les backlinks toxiques

Les backlinks toxiques sont des liens entrants de mauvaise qualité pouvant nuire à votre référencement

Ils proviennent souvent de sites spammy, de réseaux artificiels (PBN) ou de contenus automatisés

Leurs effets : baisse de position, perte de visibilité et risque de pénalité Google

Un audit régulier (3 à 4 fois par an) permet de repérer ces liens avant qu’ils ne posent problème

Les outils SEO comme Ahrefs, Semrush ou Screaming Frog facilitent leur détection

Pour les gérer : privilégiez d’abord la suppression manuelle, puis le désaveu via Google Search Console

Quand on parle de « backlink toxique », on désigne un lien entrant vers votre site qui présente un risque pour votre référencement naturel. Soit parce qu’il s’inscrit dans une stratégie black hat, soit parce qu’il vient d’un domaine de mauvaise qualité. Mais pour bien comprendre ce qu’il implique, prenons tout d’abord du recul.

Un backlink devient toxique lorsqu’il contribue à l’affaiblissement d’une stratégie de liens, et lorsqu’il peut potentiellement déclencher une pénalité pour votre site de la part de Google. Les outils SEO comme Semrush évoquent un « score de toxicité » pour qualifier ces liens suspects. Cela ne signifie pas que tout lien faible est forcément toxique, mais qu’il peut représenter un risque.

Audit profil avec backlinks toxiques

Quelques exemples de backlinks pouvant être toxiques

Voici quelques types de backlinks que votre agence SEO peut surveiller et analyser :

  • Liens provenant d’annuaires ou de répertoires spammy, créés uniquement pour établir des liens et non pour apporter du contenu utile
  • Liens issus de réseaux de sites interconnectés (PBN) ou de domaines contrôlés par le même exploitant
  • Liens avec ancrages suroptimisés contenant trop de mots‑clés, provenant d’un site hors thématique
  • Liens émanant de pages dont le contenu est faible, automatique ou très publicitaire
  • Multiples backlinks provenant d’un seul domaine ou d’un réseau de domaines très similaires

Il est cependant important de différencier ces liens des liens spammy que chaque site peut attirer même sans le vouloir. En effet, Google les reconnaît et les ignore souvent.

Pourquoi Google surveille les liens toxiques ?

Depuis la mise à jour Google Penguin (version 4.0 notamment), Google a clairement affirmé que les liens conçus « uniquement pour manipuler les résultats de recherche » enfreignent ses consignes. La conséquence principale est que même s’il n’y a pas toujours de pénalité explicite, le site peut perdre de la crédibilité, voir son algorithme « ignorer » certains liens ou le dévaluer globalement.

Les backlinks toxiques constituent une menace pour la performance SEO de votre site. Ils peuvent réduire à néant des mois, voire même des années de travail d’optimisation.

Par exemple, un site e‑commerce investit dans une campagne SEO avec création de contenu, balisage technique et netlinking. Mais sans s’en rendre compte, il accumule des liens douteux issus d’anciens annuaires obsolètes, de blogs abandonnés ou de sites piratés. Il en résultera une chute progressive des positions sur Google sans explication apparente. Et pourtant la toxicité du profil de liens en sera la cause.

Baisse de positionnement et perte de visibilité

L’un des premiers signaux d’alerte est une dégringolade dans les résultats de recherche. Cela peut être lent et presque imperceptible au début, puis soudain brutal. Même sans action manuelle, Google peut décider de désindexer l’effet des backlinks douteux, et par ricochet, votre site perd en autorité.

Sachez que 7 à 10 % des backlinks analysés dans un profil moyen peuvent être toxiques ou potentiellement dangereux. Ce pourcentage peut sembler faible, mais lorsqu’il touche des pages importantes de votre site, l’impact sur le chiffre d’affaires peut devenir considérable.

Risque de pénalité manuelle ou algorithmique

Google, via ses algorithmes, peut pénaliser un site qui tente de manipuler artificiellement son référencement via des liens non naturels. Vous pourrez le remarquer grâce à une perte massive de trafic organique, voire une disparition totale de certaines pages des résultats de recherche. La Search Console peut même envoyer une notification explicite : “liens non naturels détectés”.

Et ces sanctions ne concernent pas que les gros sites ou les tricheurs professionnels. Une entreprise de taille moyenne peut tout à fait être affectée si elle a confié son netlinking à des prestataires peu scrupuleux, ou si elle ne surveille pas régulièrement la qualité de ses liens entrants.

Atteinte à la réputation et à l’autorité du site

Les backlinks toxiques ne font pas que pénaliser votre position dans les SERP. En effet, ils altèrent la perception algorithmique de votre réputation. Google accordera très peu de confiance à un site lié à des domaines frauduleux, sans contenu, ou uniquement créés pour manipuler le SEO. Votre Domain Authority s’en retrouvera fragilisé et cela affaiblit donc vos chances de rivaliser sur des mots-clés compétitifs.

À tout cela s’ajoute un impact sur l’expérience utilisateur. Si vos visiteurs arrivent depuis des sites de mauvaise qualité, ils peuvent remettre en question la crédibilité de votre entreprise.

Repérer les backlinks toxiques demande certaines compétences d’analyse en SEO et l’utilisation d’outils. Une agence commence généralement par rassembler toutes les données de votre profil de liens entrants via des outils spécialisés tels que Ahrefs, SEMrush, ou Moz. L’objectif est d’obtenir un export complet des domaines ayant posé un lien vers votre site. En plus de cela, ces outils indiquent des métriques très importantes en SEO comme l’autorité du domaine, le trafic du site référent, l’ancrage du lien, etc.

Ensuite, l’agence peut utiliser Screaming Frog SEO Spider pour affiner la détection des mauvais liens en important une liste des backlinks à crawler.

Une fois le tri effectué, elle prend en compte :

  • Le contexte thématique : un lien d’un site peu connu mais très pertinent vaut souvent mieux qu’un lien « haut DR » hors sujet.
  • La durée et l’origine : un lien acquis naturellement il y a trois ans aura un comportement différencié par rapport à 100 nouveaux liens créés en une semaine.
  • Le risque de désaveu abusif : désavouer des liens valides peut réduire l’effet positif général de votre profil.

Les signes de toxicité d’un backlink que l’on recherche

Même si chaque cas est unique, certaines marques d’un backlink toxique sont récurrentes :

  • Le domaine d’origine affiche une autorité très faible ou un trust flow négligeable
  • L’ancrage du lien est suroptimisé (ex : “acheter X pas cher”) et hors‑thématique
  • Le lien provient d’un grand nombre de sites interconnectés ou d’un réseau de blogs privés
  • Le contenu du site référent est minimal, automatisé ou purement publicitaire
  • Plusieurs backlinks du même domaine vers le site audité, dans un laps de temps court

1. Préparer la liste de backlinks

Exportez depuis Ahrefs, Semrush ou Google Search Console la liste des backlinks (URL source) dans un fichier csv.

Exporter backlinks d'un site

2. Importer dans Screaming Frog

Ouvrez Screaming Frog

En haut, allez dans Mode ▸ Liste

Cliquer sur liste dans mode

Cliquez sur Charger > À partir d’un fichier et sélectionnez votre CSV

Charger un fichier sur Screaming Frog  pour trouver des backlinks toxiques

3. Configurer le crawl

Allez dans menu : ConfigurationSpider

Onglet Basic : décochez Crawl Linked XML Sitemaps, Crawl Canonicals, Crawl Images, etc

Vous pouvez aussi désactiver les options inutiles comme JavaScript ou les images pour gagner du temps

désactiver les crawls inutiles

Dans Configuration ▸ Include / Exclude, vous pouvez filtrer :

Include → uniquement votre domaine (yourdomain.com) pour isoler les liens pointant vers vous

Exclude → pour ignorer des sous-domaines sans intérêt

Appliquer des filtres d'inclusion ou d'exclusion

4. Lancer le crawl

Cliquez sur Commencer

Laissez Screaming Frog tester les URLs de votre fichier

5. Exporter les résultats

Une fois le crawl fini, vous trouverez Exporter pour récupérer tous les liens entrants détectés

Exporter liste de liens depuis Screaming Frog pour trouver des backlinks toxiques

6. Analyser les backlinks toxiques dans Excel / Sheets

Triez les URL par Status Code dans un Excel ou Google Sheets pour identifier les domaines externes avec plusieurs liens morts, spammy ou suspects :

  • 200 = lien fonctionnel
  • 301 / 302 = redirection
  • 404 / 410 = lien cassé

Après avoir repéré les plus douteux, ajoutez-les à un fichier qui vous servira à désavouer les liens auprès de Google.

Détecter un lien toxique est la première étape. Maintenant, il ne reste plus qu’à les gérer sans nuire au profil global de backlinks.

Demander la suppression manuelle des backlinks toxiques depuis les sites

La première étape est la plus chronophage mais c’est la plus propre. Il s’agit de demander la suppression des liens à la source. Lorsqu’un lien toxique est identifié, l’outil de désaveu n’est pas forcément la première solution. Vous pouvez d’abord contacter les éditeurs des sites concernés. Il est possible de le faire par email, via des formulaires de contact ou bien en cas d’absence, par une recherche WHOIS avec le nom de domaine pour identifier un interlocuteur.

Demander la suppression manuelle des liens toxiques depuis les sites

La première étape est la plus chronophage mais c’est la plus propre. Il s’agit de demander la suppression des liens à la source. Lorsqu’un lien toxique est identifié, l’outil de désaveu n’est pas la première solution. Il faut d’abord contacter les éditeurs des sites concernés. Il est possible de le faire par email, via des formulaires de contact ou, en cas d’absence, par une recherche WHOIS avec le nom de domaine pour identifier un interlocuteur.

Désavouer des liens toxiques depuis la Google Search Console

Quand les demandes de retrait restent sans réponse (ce qui arrive fréquemment) ou que les liens proviennent de domaines inaccessibles (réseaux PBN, sites abandonnés, plateformes spammées), une agence SEO va ensuite passer à l’étape du désaveu.

Cette manière de faire consiste à compiler un fichier listant précisément les URL ou domaines à ignorer. Le fichier au format .txt est ensuite soumis via l’outil Google Search Console. Il est important de noter que ce désaveu n’efface pas les liens, il demande simplement à Google de ne pas les prendre en compte dans son évaluation algorithmique.

Le désaveu est une action devant être réalisée avec précaution. En effet, il peut conduire à la perte de liens bénéfiques par erreur. C’est pour cela que nous conseillons de le faire faire par une agence SEO. Elle pourra réaliser un audit complet et désavouer ce qui est nuisible sans affaiblir ce qui est utile.

Comment désavouer un lien toxique depuis la Google Search Console ?

Si vous avez identifié des backlinks toxiques que vous ne pouvez pas faire supprimer manuellement, voici la procédure pour les désavouer en toute sécurité.

1. Créer un fichier de désaveu

Ouvrez un éditeur de texte (comme Notepad) et listez les liens à désavouer :

  • Pour désavouer un domaine entier :
    domain:exemple.com
  • Pour désavouer une URL précise :
    https://www.exemple.com/page-spammy

Ajoutez une ligne par lien. Vous pouvez aussi insérer des commentaires précédés de # (non pris en compte par Google).

Exemple fichier txt pour désavouer des backlinks toxiques

2. Sauvegarder le fichier

Enregistrez le fichier au format .txt en encodage UTF-8, par exemple : fichier-desaveu.txt.

3. Accéder à l’outil Google

Allez sur : https://search.google.com/search-console/disavow-links

Sélectionnez la propriété (le site concerné), puis cliquez sur “Désavouer des liens”.

Désavouer liens depuis la Google Search Console

4. Importer votre fichier

Téléversez votre fichier .txt, puis confirmez l’action. Google intégrera vos données dans les jours ou semaines suivants, sans retour visible immédiat.

FAQ : tous savoir sur les backlinks toxiques

À quel rythme faut‑il auditer le profil de backlinks ?

chevron-circle-down

Il est recommandé de vérifier votre profil de liens au minimum trois à quatre fois par an, idéalement avec une petite revue trimestrielle pour détecter tôt les anomalies ou nouvelles vagues de liens suspects.

Pourquoi faire appel à une agence SEO pour cette mission ?

chevron-circle-down

Gérer les backlinks toxiques demande de l’expertise et des outils d’analyse. Une agence SEO sait distinguer les risques, agir avec méthode et renforcer durablement votre profil de liens. Elle vous fait gagner du temps, évite les erreurs de désaveu et assure un suivi pour protéger votre visibilité sur Google.

Est‑ce que tous les liens supprimés ou désavoués deviennent immédiatement neutres ?

chevron-circle-down

Même après suppression ou désaveu, il peut s’écouler plusieurs semaines avant que l’action soit pleinement prise en compte par Google. De plus, certains liens restent actifs mais sont simplement pris en compte de façon nulle (ne passent pas d’autorité) plutôt que d’être effacés.

Est‑ce que l’utilisation du fichier de désaveu peut être un signal négatif pour Google ?

chevron-circle-down

Google Search Console précise que le désaveu est adapté uniquement si vous avez « un nombre important de liens artificiels, spammy ou de mauvaise qualité » ou une action manuelle active. Une mauvaise utilisation (désavouer massivement sans analyse) peut en revanche affaiblir des liens utiles et nuire à votre référencement.

Comment différencier un lien « peu utile » d’un lien « toxique » ?

chevron-circle-down

Un lien peu utile peut être un backlink “neutre” : provenance à faible autorité, thématique éloignée, mais sans signe manifeste de manipulation.
Un lien toxique présente généralement plusieurs des critères suivants : provenance d’un domaine douteux, ancrage suroptimisé, schéma répétitif ou trompeur.

Le Domain Rating (DR) est l’un de ces indicateurs qui revient sans cesse dès qu’on parle de référencement naturel. Si vous avez déjà exploré les outils SEO comme Ahrefs, vous avez sans doute croisé ce fameux score sur 100, censé mesurer « l’autorité » d’un site web.

Mais pourquoi attire-t-il autant l’attention ? Parce qu’il touche à la notion de crédibilité d’un domaine aux yeux des moteurs de recherche… et, par extension, aux yeux de vos visiteurs. Un bon Domain Rating laisse entendre que votre site est fiable, populaire et bien référencé.

On considère donc le DR comme une boussole. Il ne dit pas tout, mais il donne une idée de la santé globale d’un site en matière de netlinking. Et même si Google n’utilise pas le DR dans son algorithme officiel, il reste un excellent indicateur de performance pour orienter une stratégie de référencement. Une bonne agence en référencement naturel et payant s’en sert forcément lorsqu’elle réalise un audit d’un site et de ses concurrents.

Les points importants à retenir sur le Domain Rating

  • Le Domain Rating est une métrique développée par Ahrefs qui mesure la force du profil de liens d’un site sur une échelle de 0 à 100
  • Ce score repose sur le nombre, la qualité et la diversité des domaines référents, ainsi que sur la distribution du link juice
  • Il a une influence indirecte sur le référencement naturel, car un site avec un bon DR possède souvent un profil de backlinks solide, ce qui favorise ses positions dans Google
  • Le DR est un repère clé dans les stratégies de netlinking et de partenariats, pour identifier les sites les plus crédibles ou les plus puissants
  • Pour améliorer son Domain Rating, il faut obtenir des backlinks de qualité, nettoyer les liens toxiques et maintenir une stratégie constante dans le temps
  • Ce score ne mesure ni la qualité du contenu, ni la performance technique, ni le comportement des utilisateurs. Il doit donc être interprété avec recul
  • Le Domain Rating est un thermomètre d’autorité, pas une vérité absolue. C’est un outil d’évaluation, pas un objectif final

Qu’est-ce que le Domain Rating ?

Le Domain Rating est un indicateur conçu pour mesurer la force du profil de liens d’un site web, autrement dit sa capacité à obtenir des backlinks de qualité. Ce score compris entre 0 et 100 évolue de façon logarithmique : plus il est élevé, plus il devient difficile de gagner des points. Passer de 10 à 20 est simple, mais passer de 50 à 70 demande un effort considérable.

En pratique, ce chiffre traduit l’autorité perçue d’un domaine selon Ahrefs. Ahrefs est un outil que la plupart des professionnels du référencement utilisent au quotidien. C’est un moyen rapide de comparer la puissance d’un site par rapport à ses concurrents, ou d’évaluer la crédibilité d’un partenaire avant un échange de liens.

Domain Rating sur tableau de bord Ahrefs

Une métrique développée par Ahrefs

Le Domain Rating a été créé par Ahrefs, l’un des logiciels SEO les plus réputés sur le marché. Cette plateforme s’appuie sur un index colossal de milliards de pages web pour évaluer la qualité et la quantité des liens qui pointent vers chaque domaine.

Ahrefs a créé ce score pour offrir une alternative chiffrée à la notion d’autorité de domaine. Contrairement à d’autres métriques comme le Domain Authority (DA) de Moz, le DR est basé uniquement sur les liens entrants, sans tenir compte d’autres facteurs comme le contenu ou le trafic organique.

Que mesure vraiment le Domain Rating ?

Le Domain Rating mesure donc la popularité et la force du profil de liens d’un site, à travers trois éléments principaux :

  • Le nombre de domaines référents : plus un site reçoit de liens depuis des sites variés, plus son DR augmente
  • La qualité de ces sites : un backlink depuis un site à fort DR a beaucoup plus de valeur qu’un lien depuis un petit site peu crédible
  • La répartition du link juice : si un site fait des liens vers trop d’autres sites, la puissance transmise à chacun d’eux est diluée

Le DR n’est donc pas une note de popularité générale, mais une mesure d’influence dans le réseau du web. Il indique la solidité de votre profil de backlinks, un peu comme un thermomètre de votre réputation numérique.

Pourquoi le Domain Rating est important en SEO ?

Le Domain Rating est une indication de la puissance de votre site aux yeux des moteurs de recherche, mais aussi de vos partenaires potentiels. Même si Google ne l’utilise pas directement, il a une influence indirecte sur le référencement.

Influence indirecte sur le positionnement Google

Un site avec un DR élevé a généralement un meilleur profil de liens entrants : il est cité, recommandé, souvent perçu comme une référence dans son domaine. Or, les liens sont l’un des 3 piliers du SEO.

Google accorde une grande importance à la qualité des backlinks, car ils agissent comme des votes de confiance. Ainsi, même si le DR n’entre pas dans l’algorithme de classement, un profil de liens solide (et donc un bon DR) améliore la probabilité d’un bon positionnement. Il est souvent la conséquence d’un bon travail SEO.

Impact sur la stratégie de netlinking et partenariats

Quand on cherche à développer une stratégie de netlinking, le DR devient un repère incontournable. En effet, avant d’obtenir ou d’acheter un lien on regarde toujours le Domain Rating du site source. Il permet d’évaluer la valeur potentielle du backlink.

Un lien provenant d’un site avec un DR de 45 aura infiniment plus d’impact qu’un lien venant d’un site à 12 de DR.

En agence, il est utilisé pour prioriser les opportunités de backlinks. La meilleure chose à faire est d’éviter la multiplication de liens faibles, mieux vaut viser moins, mais viser mieux.

Comment est calculé le Domain Rating ?

Le Domain Rating repose sur un calcul complexe, mais l’idée de fond reste simple : plus un site obtient de liens de qualité, plus son score augmente. L’algorithme d’Ahrefs s’appuie sur des milliards de données pour évaluer le DR de manière cohérente et comparative entre tous les sites du web. Il repose sur plusieurs variables interconnectées.

Liens entrants uniques

Ahrefs accorde plus de poids à la diversité des domaines référents qu’à la quantité brute de liens. Autrement dit, obtenir 10 liens depuis 10 sites différents est bien plus bénéfique que d’obtenir 100 liens depuis un seul site. Cela évite de gonfler artificiellement le score avec des liens répétitifs, et valorise au contraire les connexions variées et naturelles.

Autorité des sites référents et distribution du link juice

Lorsqu’un site à fort Domain Rating fait un lien vers le vôtre, il transmet une partie de son autorité, ce qu’on appelle le link juice. C’est ce mécanisme qui explique pourquoi quelques backlinks de qualité peuvent faire grimper votre DR plus vite qu’une centaine de liens faibles.

Ahrefs tient donc compte de la force des sites qui vous citent, mais aussi du nombre total de liens sortants sur leurs pages : plus ils partagent leur autorité, plus celle-ci se dilue. Imaginez qu’un site à fort DR fasse des liens vers dix autres sites : chacun recevra une petite part de cette autorité. Mais s’il ne fait qu’un seul lien externe, tout le jus SEO sera concentré sur ce lien.

Le calcul du Domain Rating s’appuie donc sur une analyse de réseau à grande échelle : plus vous êtes connecté à des sites influents, plus votre autorité croît. Mais comme souvent en SEO, la qualité prime toujours sur la quantité.

Comment améliorer son Domain Rating ?

Améliorer son Domain Rating signifie renforcer la qualité de son profil de liens. Il n’existe pas de raccourci miracle, ni de technique instantanée. Ce score se construit dans le temps, avec une stratégie et des actions à mettre en place.

1. Créer du contenu digne d’être cité

La base de tout bon netlinking, c’est le contenu. Si vos articles, pages ou études apportent de la valeur ajoutée sur un sujet, d’autres sites auront naturellement envie de vous mentionner.

Misez sur :

  • Des guides complets et pédagogiques sur des sujets précis
  • Des études de cas ou analyses originales
  • Des ressources téléchargeables (infographies, checklists, livres blancs)
  • Du contenu visuel attractif (illustrations, schémas, vidéos)

L’idée est de devenir une référence dans votre domaine. Les backlinks suivront d’eux-mêmes.

Exemples de contenus à forte valeur ajoutée pour le Domain Rating et le SEO

2. Obtenir des backlinks de qualité

Continuons avec l’idée des backlinks, car c’est évidemment le cœur du sujet. Pour faire grimper votre DR, il faut attirer des liens provenant de sites fiables, reconnus et pertinents.

Les recommandations naturelles depuis des sites qui font autorité dans la même thématique que vous sont les meilleures. Par exemple, pour un site e-commerce dans le domaine de la santé, obtenir un backlink de Doctissimo qui possède un DR évalué entre 60 et 70 sur Ahrefs est la meilleure chose qui puisse arriver.

Les méthodes les plus efficaces restent :

  • Le guest blogging : publier des articles sur des sites partenaires en y insérant un lien vers votre propre domaine
  • Les relations presse et digitales, qui permettent d’obtenir des liens depuis des médias à fort DR

En agence SEO, nous conseillons toujours de privilégier la pertinence thématique. Le lien que vous souhaitez obtenir doit être posé depuis un site proche de votre activité.

3. Nettoyer les backlinks toxiques

Un bon Domain Rating ne dépend pas uniquement des liens gagnés, mais aussi de ceux qu’il faut éliminer. Les liens artificiels issus de sites spammy et de fermes de liens vont freiner votre progression et dégrader votre profil global. Avec des outils comme Ahrefs, Semrush ou Google Search Console utilisés en agence SEO, il est possible d’identifier les backlinks problématiques. Nous vous conseillons donc de régulièrement surveiller vos nouveaux backlinks.

Une fois repérés, vous devrez désavouer les liens via la Google Search Console ou contacter les webmasters concernés pour demander leur suppression.

Une fois cela fait, vous pouvez analyser la répartition des ancres de liens pour éviter une suroptimisation artificielle.

4. Renforcer son maillage interne

On l’oublie souvent, mais le maillage interne participe aussi à la valorisation de votre site. S’ils sont bien structurés, les liens internes aident les moteurs de recherche à mieux comprendre l’architecture de vos pages et à répartir l’autorité de manière équilibrée. Cela ne fera pas grimper votre DR directement, mais renforcera votre profil de liens global, ce qui favorise votre progression dans les classements.

5. Miser sur la constance

Le Domain Rating évolue avec le temps, et Ahrefs met régulièrement à jour ses données. Il est donc normal de voir son score fluctuer légèrement, même sans action spécifique. Le plus important est de maintenir une stratégie régulière, d’acquérir de nouveaux liens de façon continue, et d’éviter les pics artificiels qui pourraient sembler suspects.

En résumé, pour améliorer son Domain Rating, il faut miser sur :

  • La qualité des backlinks, pas la quantité
  • La pertinence thématique
  • La constance et le suivi régulier

Ce que le Domain Rating ne mesure pas

Beaucoup de personnes interprètent le Domain Rating comme un indicateur global de performance SEO. En réalité, ce n’est qu’un score de popularité basé sur les liens. Il ne dit rien sur les nombreux autres aspects importants du référencement.

Le Domain Rating ne mesure pas la qualité du contenu

Un site peut afficher un DR élevé tout en proposant du contenu médiocre. Le Domain Rating ne tient pas compte de la pertinence des textes, de la structure sémantique, ni de la satisfaction des utilisateurs.

Or, pour Google, ce sont justement ces éléments qui déterminent la valeur réelle d’une page. Vous pouvez donc avoir un DR faible, mais un contenu de grande qualité capable de très bien se positionner sur des requêtes ciblées.

Le DR ne reflète pas la performance technique

Le DR ignore complètement les aspects techniques d’un site. Il va par exemple s’agir de la vitesse de chargement, de l’accessibilité mobile, du balisage HTML ou de la sécurité HTTPS. Pourtant, ces critères ont un impact direct sur le référencement et sur l’expérience utilisateur. Un site techniquement optimisé mais encore jeune (donc avec un faible DR), peut surpasser un concurrent plus ancien si son SEO technique est irréprochable.

Le Domain Rating ne prédit pas les positions dans Google

Beaucoup de personnes et d’agences en SEO cherchent à corréler le Domain Rating avec le classement dans les SERP, mais ce lien n’est pas automatique. Un bon DR facilite les choses, oui, mais il ne garantit rien. Google évalue chaque page individuellement, pas seulement le domaine dans son ensemble. Même un site avec un DR de 80 peut avoir des pages mal positionnées si elles sont mal optimisées ou peu pertinentes.

Le DR ne remplace pas une vision stratégique

Le Domain Rating doit être vu comme un indicateur de pilotage, pas vraiment comme une finalité. Se focaliser uniquement sur ce score conduit souvent à des décisions contre-productives : acheter des liens, négliger le contenu, ou perdre de vue les vrais objectifs. Gardez à l’esprit que le Domain Rating doit être utilisé comme un outil d’analyse parmi d’autres au sein d’une stratégie SEO globale.

FAQ sur le Domain Rating : les réponses d’une agence SEO

Un DR élevé garantit-il plus de trafic organique ?

chevron-circle-down

Le Domain Rating mesure l’autorité du domaine, pas la pertinence du contenu ni la qualité du maillage interne. Pour attirer du trafic, il faut un contenu bien optimisé, structuré, et aligné avec les requêtes de vos visiteurs.

Le Domain Rating influence-t-il directement le classement sur Google ?

chevron-circle-down

Non, pas directement. Le Domain Rating est une métrique interne à Ahrefs, indépendante de Google. Cependant, il reflète la qualité du profil de liens d’un site qui a un impact sur le référencement. Donc un bon DR n’améliore pas votre classement par magie, mais il traduit un travail SEO efficace.

Est-ce utile de suivre le Domain Rating de ses concurrents ?

 

chevron-circle-down

Bien sûr ! C’est une chose à faire dans une analyse concurrentielle SEO. En comparant votre DR à celui de vos concurrents directs, vous identifiez rapidement les écarts d’autorité. Lorsque vous faites appel à une agence SEO, elle inclura le Domain Rating à l’audit de votre site et de ses concurrents.

Faut-il viser un DR précis pour être bien référencé ?

chevron-circle-down

Non, il n’existe pas de bon score précis. Tout dépend de votre secteur d’activité et de votre niveau de concurrence. Dans certaines niches locales, un DR de 15 à 20 peut suffire. Dans des marchés ultra compétitifs, il faudra plutôt un DR de 35 à 50.

Peut-on perdre du Domain Rating sans avoir fait d’erreur ?

chevron-circle-down

Oui, cela arrive souvent. Le DR dépend aussi du comportement des autres sites. Si ceux qui vous font des liens perdent eux-mêmes de l’autorité, votre score peut baisser. De même, Ahrefs réajuste régulièrement son index, ce qui peut provoquer des variations naturelles du score. Rien d’inquiétant, tant que votre profil de liens reste sain.

Le Domain Rating est-il plus fiable que d’autres indicateurs comme le Domain Authority (DA) ?

 

chevron-circle-down

Ni plus fiable, ni moins. Ce sont simplement deux approches différentes de l’évaluation du profil de liens. Le Domain Authority vient de Moz, le Domain Rating d’Ahrefs. Tous deux cherchent à mesurer la popularité d’un site via ses liens, mais leurs algorithmes ne reposent pas sur les mêmes bases de données.

Avec la démocratisation très rapide des IA génératives, des assistants vocaux et de la recherche par questions‑réponses, une nouvelle stratégie de référencement s’est installée : le Generative Search Optimization (GSO).

Pour illustrer l’ampleur du bouleversement, déjà en 2025, près d’un utilisateur sur cinq dans le monde utilise déjà les IA pour faire des recherches, soit environ 20,5 % de la population internet.

Ce chiffre signale un changement dans la façon dont les utilisateurs recherchent, interagissent et consomment. Vous pouvez dès aujourd’hui prendre les devants en vous faisant référencer sur les IA grâce à une agence SEO et GSO.

On vous explique à suivre les différences entre la SEO et la GSO d’un point de vue d’agence IA.

Qu’est-ce que le SEO ?

Le SEO, pour Search Engine Optimization, est l’ensemble des techniques utilisées pour améliorer la position d’un site dans les résultats naturels des moteurs de recherche comme Google. En d’autres termes, c’est faire en sorte qu’une page apparaisse dans les premiers résultats lorsqu’un utilisateur tape une requête liée à vos produits, services ou expertises. Aujourd’hui, le SEO c’est :

  • 53 % du trafic global des sites web provient du référencement naturel.
  • Les 3 premiers résultats Google captent plus de la moitié des clics.

Les piliers du SEO : contenu, technique et notoriété

Le SEO repose sur trois piliers que l’on se doit de respecter :

1. Le premier est le contenu. Il s’agit de produire des textes utiles, riches en informations, pertinents, qui répondent aux intentions de recherche des utilisateurs. Ce contenu doit intégrer des mots-clés, des réponses, des explications et une valeur ajoutée.

2. Ensuite, il y a la partie technique. Votre site doit être rapide, sécurisé, lisible par les moteurs de recherche, bien structuré (titres, balises, maillage interne, plan de site XML…).

3. On retrouve également le pilier notoriété. Lorsque d’autres sites de confiance mentionnent et recommandent votre site via des backlinks, ils renforcent directement son autorité aux yeux de Google. Votre site se classe alors mieux, à condition de respecter de nombreux autres critères.

Pourquoi le SEO seul peut ne plus suffire ?

Le SEO reste un canal d’acquisition très important, mais il est aujourd’hui confronté à de nouveaux modes de recherche. Les requêtes « zéro clic » explosent : de plus en plus d’utilisateurs veulent obtenir la réponse à leur recherche directement dans les premiers résultats sans avoir à visiter de site.

Ajoutez à cela une concurrence féroce, une saturation des contenus et des algorithmes toujours plus complexes, et vous comprendrez pourquoi le SEO va évoluer.

Qu’est-ce que la GSO ?

Une nouvelle forme de référencement née des intelligences artificielles

GSO est l’acronyme de Generative Search Optimization. Il s’agit de faire en sorte que les IA citent votre contenu, vos arguments, vos produits, vos services dans leurs réponses. En effet, les utilisateurs ne se contentent plus de rechercher sur Google. Ils posent désormais leurs questions à des intelligences artificielles comme ChatGPT, Perplexity, DeepSeek ou Gemini, qui leur donnent des réponses immédiates sans leur demander de cliquer sur un lien.

Le nouvel objectif des marques est de devenir la référence directement mentionnée par une intelligence artificielle.

Pourquoi la GSO devient indispensable ?

Plus de 58 % des internautes ont déjà utilisé des IA pour s’informer ou prendre des décisions. Et les IA sont apparues pour le grand public il y a seulement 2 à 3 ans maximum. Une telle évolution et une modification de nos habitudes en si peu de temps sont vraiment impressionnantes. Et le phénomène est encore en pleine accélération.

Il semble donc impensable d’ignorer cette tendance pour les entreprises qui opèrent dans des secteurs complexes où l’expertise est un avantage concurrentiel. Être cité par une IA signifie être validé comme source fiable auprès de milliers d’utilisateurs.

Comment fonctionnent les moteurs d’IA génératives ?

Contrairement aux moteurs de recherche classiques, les IA utilisent des modèles de langage qui lisent et comprennent le contenu du web pour en tirer des réponses intelligentes. Elles croisent plusieurs sources, évaluent leur pertinence, leur cohérence, leur fiabilité… et génèrent une réponse unique, souvent sans afficher de lien.

Pour être visible dans ce contexte, votre contenu doit remplir plusieurs critères :

  • Être extrêmement clair et structuré de manière logique
  • Fournir des informations concrètes et vérifiables : données, chiffres, définitions
  • Répondre à des questions précises formulées naturellement
  • Avoir une forme éditoriale optimisée pour être facilement comprise par une IA

Autrement dit, le contenu qui plaît aux IA est celui qui semble prêt à être cité tel quel.

🔧 Tutoriel rapide : premiers pas vers la GSO

  1. Structurez votre contenu pour qu’il réponde à une question précise. Par exemple, commencez un paragraphe par : « La meilleure méthode pour… est… »
  2. Ajoutez une section FAQ dans vos pages stratégiques : elle sert autant le SEO que la GSO
  3. Utilisez des données structurées (Schema FAQPage, Article, Organization…), pour que les IA puissent extraire vos infos plus facilement
  4. Publiez des contenus éducatifs, car les IA privilégient les contenus utiles, neutres, détaillés, bien contextualisés

Un exemple de citation par une IA avec un travail GSO

Imaginez qu’un internaute pose à ChatGPT la question suivante : « Qu’est-ce qu’un capteur inductif industriel et comment fonctionne-t-il ? »

Un article clair, structuré, avec une introduction synthétique, un schéma descriptif et une explication détaillée des applications industrielles augmente fortement les chances que l’IA intègre votre contenu dans sa réponse générée. C’est donc une source de trafic potentiel et une reconnaissance d’expertise.

Et si votre nom de marque, ou le lien vers votre page, est intégré dans la réponse, vous gagnez en notoriété, en autorité et en visibilité.

Quelles sont les différences entre le SEO et le GSO ?

Le SEO et le GSO peuvent sembler proches, car tous deux cherchent à améliorer la visibilité d’un contenu. Mais il faut noter que le SEO agit dans un univers que l’on connaît bien : les pages de résultats des moteurs de recherche comme Google ou Bing. Le GSO, en revanche, intervient dans un écosystème encore en pleine mutation, celui des IA génératives et de la recherche conversationnelle.

Contenu SEO vs Contenu GSO : une approche différente

Le contenu optimisé SEO se concentre sur l’intention de recherche, les mots-clés, la densité sémantique, et les règles de structure des pages (H1, balises, liens internes). C’est un contenu qui veut séduire à la fois l’utilisateur et l’algorithme.

Le contenu GSO est plutôt pensé pour faciliter l’extraction d’une réponse claire et autonome. Il ne s’agit pas uniquement de placer les bons mots, mais de formuler l’information d’une manière directement réutilisable par une IA. Pour ce faire, on passe par des phrases synthétiques, des paragraphes courts, des données contextualisées et vérifiables, mais aussi par la capacité à anticiper les questions exactes que poserait un utilisateur à l’oral ou à l’écrit.

Exemple : un contenu SEO classique décrirait un produit industriel avec des caractéristiques, des bénéfices et un champ sémantique élargi.

Un contenu GSO expliquerait « quel produit choisir dans telle situation », « à quoi sert ce produit », « comment l’utiliser », sous forme de réponses argumentées, comme dans une FAQ.

Impact sur le parcours utilisateur

Le SEO incite inévitablement l’utilisateur à cliquer et à se rendre sur le site pour en savoir plus. Il impose donc une action, une exploration.

Le GSO veut justement éviter le clic. Il anticipe le besoin d’information pour le résoudre immédiatement, dans une interaction fluide et rapide. Cela modifie radicalement le rôle du contenu qui devient source de vérité synthétisable.

Pour une entreprise, cela change aussi l’indicateur de performance. Avec le SEO, on regarde les impressions, le taux de clics, le trafic. Avec la GSO, on mesure le niveau d’autorité, et la capacité d’un contenu à devenir une référence que l’IA jugera utile de faire apparaitre.

Le point de convergence : la qualité éditoriale

On l’a vu, le SEO et le GSO diffèrent dans leur approche. Mais ils partagent un point commun, à savoir la qualité du contenu. Dans les deux cas, les deux stratégies de référencement demandent un contenu utile, structuré, vérifiable, qui traite le sujet en profondeur. C’est aussi ce que Google appelle le contenu EEAT : Expertise, Experience, Authority, Trust.

On peut ainsi dire que le SEO et le GSO ne sont pas vraiment en opposition, mais en complémentarité.

Comment une agence SEO et IA peut vous accompagner ?

Le Search Engine Optimization et le Generative Search Optimization sont à travailler en même temps. Il est donc nécessaire d’allier les 2 compétences pour obtenir des résultats.

Une agence SEO maîtrisant également les enjeux liés à l’IA peut vous aider à établir une stratégie qui saura aligner :

  • Le référencement naturel (SEO) pour générer du trafic depuis les moteurs de recherche,
  • Et l’optimisation générative (GSO) pour rendre vos contenus accessibles et pertinents pour les IA génératives

Expertise technique et éditoriale combinée

Une agence d’experts en GSO et SEO mettra à disposition ses compétences et prestations pour mettre en place une stratégie complète :

  • Audit de contenu : évaluer si vos pages répondent aux critères d’extraction des IA (structure, clarté, fiabilité)
  • Optimisation sémantique : reformuler les textes pour intégrer des formulations adaptées à la recherche vocale et conversationnelle
  • Création de contenus ciblés : guides, tutoriels, articles, FAQ… pour correspondre aux intentions de recherche des utilisateurs et aux critères des algorithmes des moteurs et des IA
  • Structuration technique : intégration de balisage Schema.org, optimisation du maillage interne, hiérarchisation des informations peuvent parfois afficher les sources utilisées. Des outils d’analyse de site web comme Semrush et Ahrefs proposent aujourd’hui un baromètre “AI Visibility” pour estimer un score de citation par les IA. Il est également possible de poser directement des questions à ces IA pour tester si votre contenu est cité.

Questions fréquentes sur le SEO et le GSO

Quelle est la différence entre un contenu GSO et un contenu SEO en termes de durée de vie ?

chevron-circle-down

Un contenu SEO peut rester visible plusieurs mois, voire années, tant qu’il reste pertinent pour les moteurs de recherche. Un contenu GSO doit être plus fréquemment mis à jour, car les IA s’appuient sur des sources récentes, fiables et dynamiques.

Est-ce que le GSO fonctionne uniquement avec des textes ?

chevron-circle-down

Bien que le texte soit la base, les IA peuvent également utiliser des tableaux, des infographies, des listes ou des données structurées s’ils sont correctement formatés.

Quels sont les signaux que les IA prennent en compte pour citer un contenu ?

chevron-circle-down

Les IA génératives analysent plusieurs signaux : la clarté rédactionnelle, la fiabilité perçue (auteur identifié, données sourcées), la cohérence contextuelle avec la requête, la neutralité de ton, mais aussi des éléments techniques comme les données structurées. Le contenu doit donc ne pas être trop promotionnel ou mal structuré.

Comment savoir si mon site est cité par une IA comme ChatGPT ou Perplexity ?

chevron-circle-down

Des outils comme Perplexity.ai, ChatGPT Browsing, ou des extensions comme Glasp ou Wappalyzer peuvent parfois afficher les sources utilisées.
Des outils d’analyse de site web comme Semrush et Ahrefs proposent aujourd’hui un baromètre “AI Visibility” pour estimer un score de citation par les IA.
Il est également possible de poser directement des questions à ces IA pour tester si votre contenu est cité